Avec plus de la moitié de sa population âgée de moins de 18 ans, l’Ouganda a l’une des populations les plus jeunes de la planète. Selon l’UNICEF, le nombre d’enfants, d’adolescents et de jeunes devrait atteindre plus de 75 millions d’ici 2080. Exploiter le potentiel, l’élan et la vitalité de ces jeunes générations présente une alternative incroyable. De plus, il garantit de mettre la pression sur le système éducatif et d’intensifier le besoin d’emplois de qualité. Comment pouvons-nous aider à faire en sorte que les jeunes aient accès à l’argent, aux compétences en affaires et aux actifs dont ils ont besoin pour prospérer?
Dans le cadre de mon travail en tant que responsable de la Cash Inclusion Initiative au Credit Suisse, je me suis récemment rendu en Ouganda pour voir de première main l’impression du travail éducatif d’Alternative Worldwide. Ce système, qui aide depuis longtemps les parents à accéder aux ressources dont ils ont besoin pour envoyer leurs enfants au lycée, aide également les collèges privés abordables à offrir une éducation de haute qualité aux étudiants. Depuis que le Credit Suisse a commencé à soutenir ce programme en 2014, nous l’avons vu évoluer de façon spectaculaire pour servir désormais 10,2 millions d’enfants par l’intermédiaire de 118 institutions monétaires partenaires. Forts de ce succès et de nos valeurs communes d’innovation et d’entrepreneuriat, nous étions ravis de nous associer à l’équipe d’Alternative sur la prochaine frontière, nous avons donc élargi notre aide pour intégrer l’analyse de marché et la formation et l’encadrement techniques et professionnels (EFTP) pilote. marchandise hypothécaire pour les étudiants et les diplômés récents. Ces entreprises dotent les jeunes de compétences et de connaissances sensibles et pertinentes afin qu’ils puissent tirer parti d’alternatives de travail. Ce voyage a été l’occasion de réfléchir sur les progrès réalisés et sur le rôle des entreprises économiques et marchandes dans l’amélioration de l’accès à l’école et à l’emploi.
Les étudiants universitaires de l’EFTP et les jeunes diplômés sont confrontés à un marché du travail difficile et à des obstacles financiers. La croissance et l’offre d’options progressives et financièrement inclusives sont l’une des façons dont nous pouvons aider à réduire ces limites d’accès. Lors de ma visite au Buloba Enterprise Technical & Vocational Institute, j’ai rencontré la directrice Agnes Muhindo. Son dévouement envers ses élèves était palpable et elle a partagé comment elle les accompagne pour déterminer leur passion – ce qu’ils veulent faire par rapport à ce qu’ils pensent devoir faire. Ce faisant, elle a pu encourager de nombreux jeunes à poursuivre leurs ambitions professionnelles. Des jeunes comme Jamal, qui apprend à devenir mécanicien automobile.

Mais les défis auxquels les étudiants sont confrontés après l’obtention de leur diplôme l’ont souvent empêchée de fournir une orientation lorsque des obstacles financiers ont empêché certains de démarrer leur propre entreprise ou d’acheter les fournitures ou l’équipement dont ils avaient besoin pour pouvoir travailler. « Les prêts pour l’EFTP ont un grand potentiel, en particulier pour nos diplômés », a-t-elle déclaré. « Je suis ravi de pouvoir enfin leur donner une réponse et d’aider à ouvrir la porte à des actifs monétaires qui leur permettront de poursuivre leurs objectifs. »
Depuis plus d’une décennie que nous sommes partenaires d’Alternative, nous nous consacrons à soutenir l’innovation, qu’il s’agisse de canaux d’approvisionnement ou de marchandises. Ici aussi, en termes d’EFTP, nous voyons le potentiel de s’appuyer sur le succès des prêts d’amélioration des facultés et des prix des facultés, qui font depuis longtemps partie du portefeuille d’EduFinance. En investissant des capitaux de subvention tolérants au risque dans la conception minutieuse de produits durables et évolutifs adaptés aux besoins des universitaires et des diplômés, nous espérons aider les futurs entrepreneurs technologiques et créateurs d’emplois en Ouganda et au-delà. Et nous avons été inspirés par ce que nous avons vu – déjà, la curiosité et les résultats du projet pilote en Ouganda ont conduit à son expansion dans des pays comme l’Inde.
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