Conduite automatisée | RIT
Le rôle de l’industrie de l’assurance dans la conduite automatisée
L’industrie de l’assurance s’engage à 100 % à soutenir le développement de véhicules automatisés, qui ont le potentiel d’améliorer considérablement la sécurité routière et de révolutionner nos systèmes de transport.
Les principaux assureurs britanniques tels que Direct Line Group (DLG), AXA, XL Catlin et RSA travaillent dur sur les pilotes de véhicules autonomes à travers le pays. Alors que les constructeurs automobiles produisent du matériel et des logiciels innovants, les assureurs innovent dans leurs produits pour répondre aux questions vitales de sécurité et de responsabilité afin de faire du marché britannique des véhicules autonomes un leader mondial.
Vous pouvez en savoir plus sur le rôle que joue le secteur de l’assurance dans le développement de la technologie de conduite automatisée dans notre travail sur la façon dont l’assurance « aide la Grande-Bretagne à prospérer » ici.
Dans cette page :
Comment évolue cette technologie ?
La technologie automobile s’est développée rapidement ces dernières années.
Les conducteurs peuvent bénéficier de systèmes de plus en plus sophistiqués Systèmes avancés d’aide à la conduite (ADAS)y compris le régulateur de vitesse actif, les systèmes d’avertissement de sortie de voie et même la signalisation automatique.
L’industrie de l’assurance a particulièrement salué le développement du freinage d’urgence autonome (AEB), dont il a été démontré qu’il réduisait le nombre de collisions de véhicules de 20 à 40 %.
En travaillant avec Thatcham Research, le secteur de l’assurance a joué un rôle clé en aidant les conducteurs à adopter l’AEB. Vous pouvez en savoir plus sur le travail de Thatcham chez AEB ici.
À mesure que la technologie se développe, nous nous attendons à ce que les conducteurs bénéficient de plus en plus du développement de conduite entièrement automatisée.
Cela permettra aux voitures de voyager sans que le conducteur soit activement impliqué dans la tâche de conduite. Dans un premier temps, ce ne sera une option que pour certaines tâches de conduite (telles que la conduite sur autoroute, les embouteillages ou le stationnement). Cependant, à mesure que la technologie se développera, les conducteurs pourront effectuer davantage de trajets en mode entièrement automatisé.
Cependant, l’industrie de l’assurance est claire sur le fait que les conducteurs ne devraient pas avoir d’attentes irréalistes : dans un avenir prévisible, nous ne nous attendons pas à ce que ces voitures aient suffisamment de fonctionnalités de soutien pour permettre aux conducteurs de se désengager complètement de la route.
C’est pourquoi, pour l’instant, ce seront des voitures « automatisées » et non « sans conducteur ». Même en mode entièrement automatisé, les conducteurs devront être pleinement formés et sobres afin de pouvoir reprendre le contrôle à court terme si nécessaire.
Dans cette vidéo, le directeur de la recherche en assurance de Thatcham Research, Matthew Avery, vous emmène sur la piste d’essai pour vous montrer comment fonctionnera la technologie susceptible d’arriver sur le marché d’ici 2025.
Vous pouvez lire les recherches de Thatcham sur les définitions de la conduite assistée et automatisée (juin 2018) ici.
Alors que les régulateurs commencent à formuler des exigences techniques pour les systèmes de conduite automatisés, le secteur de l’assurance continue de développer son cadre qui définit les critères clés que les véhicules automatisés doivent respecter pour être classés comme automatisés. Vous pouvez en savoir plus sur les critères d’automatisation des autoroutes ici.
Que doit-il se passer d’autre ?
Les propositions d’un système simple pour sécuriser les voitures automatisées devraient jouer un rôle crucial en donnant aux consommateurs la confiance nécessaire pour commencer à utiliser cette technologie potentiellement vitale.
Mais ce ne sera que la première étape pour mettre ces véhicules sur la route.
Vous pouvez lire l’avis du secteur de l’assurance sur les mesures supplémentaires à prendre pour permettre l’utilisation en toute sécurité de la technologie de conduite automatisée dans la réponse d’ABI à l’enquête de 2016 du House of Lords Science and Technology Committee sur les voitures automatisées.
normes de sécurité
Avant que les voitures automatisées ne prennent la route, nous devrons bien réfléchir à la manière dont les conducteurs comprendront les différentes fonctionnalités qui apparaîtront dans les voitures.
La conduite automatisée a le potentiel d’être une révolution dans la sécurité routière, mais d’abord, les régulateurs devront établir des normes claires sur la façon dont la technologie est utilisée et quels systèmes de secours seront mis en place pour protéger les usagers de la route contre les défaillances du système. .
ABI et Thatcham Research ont exposé le point de vue du secteur de l’assurance sur les normes de sécurité qui devront être mises en place avant que la technologie de conduite automatisée ne soit mise à la disposition des consommateurs dans « Réglementer la conduite automatisée : le point de vue des assureurs britanniques ».
Partager des données
Les assureurs britanniques mènent des efforts pour disposer d’un ensemble standard de données internationalement reconnu qui serait facilement disponible en cas d’accident impliquant un véhicule automatisé.
Cela confirmerait quelle technologie était utilisée au moment de l’accident et si le véhicule fonctionnait de manière autonome ou non, et serait utilisé pour établir la responsabilité, aider les services d’urgence, traiter rapidement les réclamations d’assurance et aider les constructeurs automobiles à améliorer leurs produits. .
ABI et Thatcham Research ont travaillé ensemble pour établir une proposition détaillée sur la manière dont les données sur les accidents de véhicules devraient être partagées entre les fabricants et les autres parties.
Pour en savoir plus, lisez les derniers blogs d’ABI sur les voitures autonomes :
Lights Out and Away We Go! : Le monde changeant de l’assurance automobile
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