L’ABI et l’Association of Consumer Support Organizations (ACSO) ont travaillé ensemble pour élaborer une déclaration d’intention pour l’avancement des réclamations pendant la crise du COVID-19. La déclaration d’intention n’était destinée à s’appliquer que pendant la situation de confinement. Bien que la déclaration d’intention ne lie pas les paiements ou les demandeurs, elle a fourni un soutien et une assurance supplémentaires aux clients et aux demandeurs pendant cette période difficile.
À la suite d’un examen conjoint de la déclaration d’intention, il a été convenu que la déclaration d’intention prendrait fin le 13 août 2021.
Voir ci-dessous la déclaration d’intention
Mesures d’urgence temporaires
Toutes les parties conviennent que des mesures d’urgence uniques sont nécessaires. Ceux-ci doivent être considérés par toutes les parties comme des révisions temporaires des processus et protocoles existants qui sont adaptés pour permettre à toutes les parties de fonctionner, mais seront supprimés une fois la crise du COVID-19 terminée.
Mécanisme d’examen de la déclaration d’intention
Les mesures temporaires contenues dans cette déclaration seront revues au moins toutes les trois semaines jusqu’à la fin de la crise du COVID-19 et les mesures de distanciation sociale qui les accompagnent qui entravent les pratiques normales d’emploi dans le cadre de la procédure civile. Les mesures temporaires cesseront lorsque l’une des parties notifiera l’autre.
Examens à distance MedCo
Toute question concernant la probité ou le coût fixe de 180 £ + TVA du rapport MedCo ne sera pas la base de la méthode d’examen vidéo à distance elle-même, à condition que les dernières directives MedCo aient été suivies. Pour éviter tout doute, les directives de MedCo n’exigent pas l’approbation du compensateur pour un examen à distance et cette déclaration d’intention renforce cette position. Les examens ne doivent pas être retardés pour quelque raison que ce soit.
Examens à distance non MedCo
Les examens médicaux vidéo à distance en rapport avec des questions non liées à MedCo seront encouragés pour les blessures qui peuvent être évaluées par un médecin généraliste et un psychologue clinicien ou un psychiatre, tandis que d’autres catégories d’examens peuvent être considérées comme appropriées pendant la crise du COVID-19. . au cas par cas et convenu dans la mesure du possible.
Réhabilitation
Une prestation de rééducation individuelle par vidéo à distance, mais pas par téléphone, est convenue pour la kinésithérapie liée à :
- cas MedCo ; Oui
- Usagers vulnérables de la route (un cycliste, un motocycliste, un cavalier, un piéton ou tout autre usager de la route qui n’est ni conducteur ni passager dans ou sur un véhicule à moteur autre qu’une motocyclette) cas de lésions des tissus mous.
Le nombre prévu de séances et la fréquence des thérapies psychologiques devraient être dispensés à distance de la même manière que les traitements en face à face. Le traitement en présentiel reprendra une fois les mesures de distanciation sociale terminées, sauf accord contraire.
Le nombre de séances de kinésithérapie sera limité à un bilan initial de 30 minutes maximum plus 6 séances de soins au maximum si nécessaire, chaque séance étant limitée à 20 minutes au lieu des 30 minutes habituelles.
En ce qui concerne les autres cas, les parties peuvent convenir de ce qui précède au cas par cas. Toute question sur la probité de la rééducation ne sera pas fondée sur le fait que la méthode de traitement elle-même est une séance individuelle à distance, à condition que l’approche convenue ait été suivie.
Progression et conclusion de la réclamation
Communications : les parties conviennent d’utiliser les communications par téléphone et/ou par courrier électronique, le courrier électronique étant la méthode préférée, et d’éviter la publication ; les points d’escalade établis doivent être suivis ; tous les paiements dus seront effectués à temps et par BACS dans la mesure du possible.
ADR : les mécanismes alternatifs de résolution des litiges sont activement encouragés pendant la période de la COVID-19 afin de fournir une flexibilité aux processus de maintien du statu quo lorsque la progression et/ou la résolution d’une réclamation est clairement affectée par la COVID-19.
Les mesures alternatives sont :
ongle. Première étape du processus du portail des réclamations : S’il n’y a pas de réponse du défendeur dans le délai de réponse actuel, la réclamation sera automatiquement exclue du processus du portail. Si la responsabilité est ensuite reconnue dans son intégralité dans les 10 jours ouvrables et que le défendeur peut fournir des preuves satisfaisantes au moment où la responsabilité est admise montrant que le retard dans l’admission de la responsabilité était dû uniquement et directement à une raison liée à COVID-19, alors sur une affaire- au cas par cas et à titre exceptionnel, la partie réclamante considérera raisonnablement le paiement des frais fixes comme si la réclamation était restée sur le Portail, sous réserve que les parties aient agi raisonnablement et dans l’esprit du processus du Portail ;
b. Deuxième étape du processus du portail des réclamations : la partie plaignante accepte de prolonger la période d’échange de 10 jours ouvrables lorsque la partie défenderesse soumet une demande écrite en ce sens avant l’expiration de la période d’échange régulière du portail et fournit une raison légitime pour demander la prolongation qui est directement liée aux crises COVID – 19. Si une prolongation est accordée, la partie défenderesse s’engage à négocier activement pendant cette période. Cela n’empêche pas les parties de convenir d’une prorogation supplémentaire conformément à l’article 7.36 du Protocole d’action préalable en matière de dommages corporels de faible valeur dans les accidents de la circulation du 31 juillet 2013 et au paragraphe 7.33 du Protocole d’action préalable en responsabilité. les sinistres personnels (Responsabilité Patronale et Responsabilité Civile) de faible valeur ;
C. Deuxième et troisième étapes du processus du portail des réclamations : Pour les cas qui se déplacent entre les étapes deux et trois, et pour les cas existants à l’étape trois, les parties sont encouragées à explorer des méthodes alternatives de règlement des réclamations pendant la période affectée par COVID-19.
Si les mesures alternatives ne réussissent pas à développer et à conclure les réclamations, la réclamation qui est poursuivie au nom du consommateur doit se dérouler de la manière habituelle.