LinkedIn est l’une des plus grandes plateformes de médias sociaux au monde aujourd’hui. La société appartenant à Microsoft est en quelque sorte un « cygne noir » dans l’espace des médias de contenu social, cependant, a été sélectionnée comme le troisième site de médias sociaux le plus important pour le marketing, derrière Facebook et Instagram de Meta respectivement. Il s’est classé premier dans les réseaux liés à l’emploi, devançant Glassdoor en mars 2022. Pourtant, parallèlement au trafic organique et réel arrivant sur le site, il existe également des pans de robots LinkedIn qui inondent le site.
Un « bot » est un programme informatique qui fonctionne et se fait passer pour un être humain sur Internet. Ils comportent l’intelligence artificielle à des degrés divers et ne sont pas toujours nécessairement une mauvaise chose. Google et Bing utilisent des bots pour passer au peigne fin Internet. Cela fait partie de la façon dont le référencement organique est construit.
Les bots LinkedIn fonctionnent de manière similaire mais pas entièrement aux mêmes fins. Les robots LinkedIn sont souvent utilisés dans le cadre d’un CRM (gestion de la relation client) et sont envoyés en automatisation complète pour combiner LinkedIn pour les prospects. Voici un article presque complet décomposant les meilleurs bots grand public à lâcher sur LinkedIn.
Cependant, si vous n’êtes pas dans le gâchis de la génération de leads qu’est le CRM, vous pourriez être la proie d’un faux représentant commercial cherchant à vous colporter qui sait quoi sans le savoir. Voici quelques conseils utiles pour vous aider à déterminer à qui ou à quoi vous parlez exactement sur LinkedIn.
Fréquence et activité du compte
Les bots LinkedIn peuvent publier fréquemment et sans faute. Une personne normale peut publier souvent, cependant, il est peu probable qu’elle publie de manière excessive, plusieurs fois au cours d’une journée. Compte tenu des heures et de la nature du contenu, cela peut révéler beaucoup sur la nature de l’entité de l’autre côté de l’écran.
Plus la fréquence, l’heure de la journée et le sujet sont élevés peuvent vous donner des indices. Pourtant, en fin de compte, plus le nombre de messages est élevé, plus il est probable qu’un logiciel ou un bot de réponse automatisé soit derrière le compte.
Le déroulement de la conversation
Les robots sont généralement percutants, courts et précis. Bien qu’ils aient mis la main sur une IA plus performante ces dernières années, ils sont souvent encore maladroits et répétitifs. Ils ont tendance à tirer d’une liste de réponses ciblées discernables et manqueront de nuance pour avoir un léger changement.
Plus la similitude des commentaires de l’individu est grande, plus cela indique que vous avez affaire à un robot de réponse automatisé. Essayez de poser la même question d’une manière légèrement différente. Comme le programme doit choisir d’utiliser un nombre donné de réponses pour filtrer une réponse donnée, il est probable que l’entité – s’il s’agit d’un bot répondra avec exactement la même réponse.
Dissociation en deux étapes
Avoir la question a, conduire à la question b. Et avoir le contexte de cette deuxième question enracinée dans la première. Penser,
Q : Où travaillez-vous ?
À : Seattle
Q : Quel temps fait-il dehors ?
A: Pouvez-vous s’il vous plaît reformuler la question?
Cela indique le comportement du bot ; un humain comprendrait probablement la nature de la question et s’y conformerait ; cependant, un bot ne peut pas logiquement sauter entre les deux à ce stade.
Le profil
Il est peu probable que les profils de robots détaillent une histoire riche et bien vécue. La plupart des gens donnent au moins un aperçu général de leur vie. Où ils ont travaillé, leurs distinctions professionnelles, etc. Un bot n’aura généralement qu’une image de profil et une entreprise, avec peut-être une école dans laquelle il est allé, etc. Les robots n’ont généralement que les éléments les plus essentiels pour paraître passables. Encore une fois, pensez à la nuance et à la personnalité pour discerner l’humanité.
Plus la « vie » semble « vécue » et plus la personnalité du récit est grande, plus il est probable qu’il s’agisse en fait d’une personne réelle. Avec les bots, il peut être pratique de revenir à l’ambiance générale de la conversation. Encore une fois, pensez au juge Stweart : « Je le sais quand je le vois.
